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olivier faure - Page 7

  • L'Huma - Face à l’extrême droite, comment la gauche peut-elle reconquérir l’hégémonie culturelle ?

    Avec Ian Brossat, porte parole du PCF, adjoint au maire de Paris, Olivier Faure, député et secrétaire national du PS, Sandrine Rousseau, députée EELV et François Ruffin, député LFI. Animé par Florent Le Du. La Fête de l’Humanité sera, cette année encore, le lieu pour débattre librement et en toute franchise. Et parce que le peuple de gauche a besoin de perspectives mobilisatrices.

  • Discours d'Olivier Faure, Premier secrétaire, au #CamPuS23

    Rendez-vous samedi 26 août à partir de 11h15 pour suivre en direct depuis notre #CamPuS23 à Blois le discours de notre Premier secrétaire, Olivier Faure. Ce meeting sera animé par Dieynaba Diop, porte-parole du Parti socialiste, conseillère régionale d'Île-de-France, adjointe au maire des Mureaux. Prendront également la parole : - Emma Rafowicz, présidente des Jeunes socialistes ; - Arash Saeidi, coordinateur national de Génération·s, conseiller régional des Pays de la Loire, conseiller municipal d'Angers ; - Barbara Gomes, porte-parole du PCF ; - Hadrien Clouet, député de la Haute-Garonne (LFI) ; - Cyrielle Chatelain, présidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale.

  • À Blois, à l'occasion de son université d'été, le Parti socialiste tente de retrouver une nouvelle jeunesse

    Deuxième jour de l'université d'été du Parti socialiste à Blois dans le Loir-et-Cher. La convention "retrouvons le peuple" semble convaincre les jeunes socialistes qui étaient présents en nombre.

    Les jeunes socialistes étaient les plus bruyants ce samedi 26 août à l'université du Parti socialiste à Blois (Loir-et-Cher). Les plus visibles aussi avec leur centaine de drapeaux blancs au cœur d'une large foule. Dans les premières minutes de son discours, Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti Socialiste n'a pas manqué de les remercier chaleureusement.

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  • « Ceux qui préparent le terrain à l’extrême droite, ce sont M. Darmanin et le gouvernement »

    Vendredi 25 août, avant le lancement de notre #CamPuS23, Olivier Faure était l'invité de la matinale de RMC. Retrouvez cet entretien en intégralité !

  • NIGER : le PS soutient toute médiation pour le rétablissement des institutions démocratiques

     

    - Lundi 31 juillet 2023

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Dylan Boutiflat, secrétaire national aux relations internationales

    Le coup d’Etat qui vient de se produire à Niamey ne vise pas seulement la dernière démocratie du Sahel. Après les Maliens en 2020, les Guinéens en 2021, les Burkinabés en 2022, ce sont nos amis nigériens qui se voient confisquer leur pouvoir par la force. Une fois encore, des militaires ambitieux et despotiques prétextent de la menace djihadiste, quand ils n’instrumentalisent pas le «sentiment anti français», pour livrer le pays au chaos. Le Parti socialiste exprime sa solidarité avec les ressortissants et les soldats français présents au Niger.

    Le Parti socialiste condamne le putsch contre le président légitime, Mohamed Bazoum, élu en 2021 à l’issue de la première transition électorale pacifique. Nous demandons non seulement sa libération mais également le rétablissement de toutes les institutions démocratiques du pays. Depuis le retour de la démocratie en 2011 avec l’élection du président Issoufou, les gouvernements dirigés par notre parti frère, le PNDS, ont mené des politiques publiques qui ont amélioré les conditions de vie des Nigériens : accès à l’eau et aux soins, scolarisation des enfants, emploi des jeunes, construction d’infrastructures, reforestation, lutte contre la désertification, souveraineté énergétique…

    Malheureusement, la dégradation dans toute la région subsaharienne de la situation sécuritaire, notamment les violences entre forces militaires, groupes terroristes et milices étrangères, a provoqué l’affaiblissement des autorités locales, l’effondrement des économies fragiles et le déplacement de millions de civils. L’opération Barkhane, cumulée aux efforts du G5 Sahel pour le développement, n’auront pas enrayé cette spirale de tensions. Aujourd’hui, au Niger, 4,3 millions de personnes nécessitent une aide humanitaire, soit le quart de sa population totale. Le temps est venu de tirer des leçons de ces crises, autrement que par la politique décidée par le seul président Macron, sans contrôle du parlement.

    Plus que jamais, avec l’Internationale Socialiste, l’Alliance progressiste et tous nos partis frère d’Afrique, nous voulons inscrire nos pas dans ceux de nos ainés qui ont lutté pour les indépendances et la décolonisation. A l’avenir les européens veulent continuer d’aider les africains a assurer leur propre sécurité, à pouvoir créer un espace démocratique et de développement commun, comme nous l’avons fait avec l’UE.

    Pour cela, nous appelons de nos vœux un changement profond de politique pour nouer des partenariats plus équitables entre l’UE et ce continent, qui est déjà le plus jeune et sera en 2050 le plus peuplé. Le développement juste et durable, nous le savons, est le meilleur rempart contre les coups d’Etat, les impérialismes comme les obscurantismes.

     

  • Conseil national du 27 juin 2023 | Discours du Premier secrétaire Olivier Faure

    Mardi 27 juin, suivez en direct le discours du Premier secrétaire Olivier Faure en clôture du Conseil national. #CNPS

  • Olivier Faure - « Nous sommes dans une dérive illibérale. Les contre-pouvoirs sont progressivement interdits. »

  • PS - Lutte contre le changement climatique : à la recherche du plan perdu

    Lutte contre le changement climatique : à la recherche du plan perdu

    – Mardi 23 mai 2023

    Olivier Faure, Premier secrétaire du Parti socialiste

    Brice Gaillard, secrétaire national au Budget, à la Planification écologique
    et aux Nouveaux indicateurs de richesse

    Nathalie Sarrabezolles, secrétaire nationale à l’Environnement et aux Biens communs

    Bertrand Cavalerie, secrétaire national adjoint aux Biens communs

    Le Gouvernement cherche depuis 48 heures à faire oublier l’échec de sa politique en matière de lutte contre le réchauffement climatique en multipliant les opérations de communication sans aucun contenu tangible.

    Le Parti socialiste soutient toute démarche visant à réduire les gaz à effet de serre et à assurer la neutralité carbone et la soutenabilité de nos modes de production. Nous n’avons plus le luxe de tergiverser : la décarbonation n’est pas une option, mais une obligation. Cet enjeu est à la fois environnemental et social, car il faudra accompagner les populations les plus fragiles, celles qui souffrent le plus du dérèglement climatique. Sur ce point, rien de nouveau n’a été annoncé. Nous avons besoin d’une stratégie nationale d’adaptation claire, mais aussi de mener de pair une politique d’atténuation ambitieuse et de rompre avec un modèle de développement à bout de souffle. Encore faut-il s’en donner les moyens.

    Le Gouvernement a d’abord présenté une « consultation » publique sur l’hypothèse jugée « pessimiste » d’un réchauffement climatique de + 4°C en 2100 et sur ses conséquences. En réalité, il ne s’agit que d’un sondage en ligne, basé sur un scénario connu et médian. De plus, l’intérêt des politiques d’adaptation n’est pas de travailler sur une moyenne annuelle comme le fait le gouvernement, mais sur les pics estivaux, quand le mercure pourrait grimper à + 5,1°c. Si le format et les scénarios interpellent, l’intention politique, elle, ne fait aucun doute. Encore une fois le Gouvernement se lance dans une opération de « greenwashing » pour faire oublier que le président de la République s’est dédit en ne suivant pas les recommandations de la Convention nationale pour le climat ; la France ne respecte toujours pas ses engagements climatiques ; le troisième Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) n’est toujours pas présenté alors que le précédent est arrivé à échéance en 2022.

    C’est dès lors ce que nous attendions de la présentation par Elisabeth Borne du plan du Gouvernement visant à la réduction des gaz à effet de serre et du rapport remis le même jour par l’économiste Jean Pisani-Ferry et l’inspectrice générale des finances Selma Mahfouz, intitulé « les incidences économiques de l’action pour le climat ». Or, c’est encore l’histoire d’un rendez-vous manqué. Les annonces du gouvernement ne sont pas le signe d’un quelconque engagement de sa part mais la seule traduction du plan européen « Fit for 55 ».

    De plus, un élément supplémentaire inquiète particulièrement dans ce cadre : le projet de loi « industrie verte », présenté il y a quelques jours, fait le choix assumé de n’incorporer aucun financement public pour la transition environnementale mais se limite à créer des dispositifs de mobilisation de l’épargne des particuliers, ce qui ne se fera qu’au détriment d’autres formes d’épargne : on peut en particulier penser au logement social, une nouvelle fois oublié par ce Gouvernement.

    Dans ce contexte, nous déplorons qu’à nouveau, la communication gouvernementale soit en décalage avec toute ambition politique réelle. Les annonces formulées se bornent à annoncer un niveau de réduction des gaz à effet de serre à échéance 2030, tout en assortissant ce chiffre de sous-objectif par secteur. L’État, condamné il y a déjà deux ans pour inaction climatique, n’a pas pris réellement la mesure de l’urgence à agir. Aucune mesure forte n’est annoncée, aucun financement public n’est détaillé.

    Pourtant, de nombreuses propositions sont dans le débat public et le Parti socialiste en a déjà avancé de nombreuses : conditionner les aides publiques au respect de critères sociaux et environnementaux, inscrire dans la constitution la règle verte, engager la planification écologique en lien avec les collectivités et les acteurs associatifs, créer un défenseur des biens communs, une prime climat pour financer la rénovation thermique des logements... Nous n’avons plus de temps à perdre dans des clics, des sondages ou des « plans » sans moyens : seules comptent les actions engagées et financées.

    La proposition phare de l’ancien conseiller économique du président de la République, qui plaide désormais pour un prélèvement sur les ménages les plus aisés, reprend ainsi sans le dire l’idée d’une taxation sur le grand capital pour financer la transition écologique, d’un ISF climatique que nous portons depuis des années. Cette proposition a toujours été rejetée par Emmanuel Macron et ses gouvernements pour des raisons purement idéologiques, malgré l’avis de plus en plus unanime des économistes, même proches du Gouvernement. Jean Pisani-Ferry prône un «accroissement des prélèvements obligatoires» pour financer la transition environnementale, estimant dans son rapport que « le supplément de dépenses publiques induit par la transition climatique devrait être à l’horizon 2030 compris entre 25 et 34 milliards d’euros par an » : il met ainsi le gouvernement face à ses responsabilités et à son inaction.

    En définitive, à défaut d’un plan d’action et/ou de financement, le Gouvernement fait ce qu’il sait faire de mieux : un plan de communication qui n’aura que trop peu d’effets concrets.